De toute évidence, les paris sportifs vont prendre plus de deux paris sur n’importe quel jeu, mais cet exemple est pour des raisons de simplicité. Regarder le nombre total de paris sur différents jeux au cours d’une semaine et ajuster la ligne d’argent et d’autres chiffres est une autre façon pour le bookmaker de réaliser un profit. Ajuster les cotes d’un minuscule point de pourcentage dans les deux sens affectera l’équilibre des battements et rendra le livre plus susceptible de générer des bénéfices, quoi qu’il arrive.
Essentiellement, un bookmaker est une personne qui retient l’argent des parieurs, puis les paie s’ils gagnent et conserve leur argent s’ils ne le font pas. C’est ce à quoi le travail se résume à son essence.
Lorsqu’un bookmaker fixe des cotes pour des matchs, il intégrera ce que les bookmakers appellent un “over round” dans son ensemble de cotes. Un autre terme d’argot utilisé pour cette formule est “le jus.” Par souci de simplicité, regardons un match de boxe où les deux prétendants sont également talentueux, de stature égale, etc. Comme ils ont tous les deux une chance égale de gagner, un pari occasionnel peut être même de l’argent. Vous mettez 20 $sur un gars; votre ami met 20 $sur l’autre. Quel que soit le combattant gagnant, le parieur reçoit un total de 40$.
Les bookmakers n’offrent même pas d’argent comme des amis dans une situation de pari décontractée. Dans l’exemple ci-dessus, avec deux boxeurs égaux, un bookmaker intelligent offrira des cotes de 5/6 pour chacun. De cette façon, un pari gagnant de 10 $ne rapporterait que 8,30 $plus votre mise. Qu’est-ce que cela fait pour le bookmaker? Il peut faire flotter une quantité égale d’argent sur les deux combattants, gagnant peu importe quel combattant gagne réellement. S’ils prennent des paris d’une valeur de 1 000 $d’un côté et de 1 000 other de l’autre, le bookmaker encaisserait 1 000 $mais n’aurait à débourser que 830$, pour un bénéfice garanti de 170 regardless quel que soit le résultat.